Je ferme les yeux.
La paix est en moi, autour de moi, dans cette demeure qui est celle de mes ancêtres, où tant d'hommes et de femmes sont nés, pour y mourir.
C'est étrange.
Je sens leur présence, presque palpable, une sorte de tendresse qui m'enveloppe. Je ne suis qu'un maillon de la longue chaîne qui me relie à eux, et à tous ceux à venir.