on estime que 10% des femmes sont victimes de violences conjugales.
79% des divorces et 84% des séparations, c’est à la demande des deux parents que la résidence des enfants est fixée la plupart du temps… chez la mère
il faut rappeler que le viol est le crime le moins signalé, et qu'il est dans bien des cas déqualifié en agression sexuelle.
"Dans la très grande majorité des divorces (85%), le juge entérine un accord des parents à la fois sur la résidence et sur le montant et les modalités de la pension alimentaire [...]. Il reste ainsi 10% des divorces où le juge a dû trancher un désaccord persistant [...]. Le conflit porte probablement plus sur le montant de la pension que sur son principe: le parent chez qui est fixé la résidence demande une pension dont le montant est jugé trop élevé par l'autre (9% des couples divorçant"."
il faut sans cesse rappeler l’ampleur et la banalité des violences sexuelles qui fonctionnent comme un moyen puissant de coercition et de punition des femmes, de toutes les femmes
les enfants n’ont pas besoin, par nature, d’un père et d’une mère biologiques. Par contre, ils ont besoin d’amour et d’attention de la part d’adultes bienveillant-e-s
Mais on peut noter que même lorsqu'il est commis contre des hommes, le viol reste un crime sexiste. L'objectif des agresseurs est en effet de déshonorer leurs victimes masculines, en les traitant "comme des femmes". Soumis et pénétrés, les hommes violés sont "abaissés" au rang de femmes. Et en perdant leur statut d'homme, ces derniers sont susceptibles dans certains contextes d'être rejetés par leur communauté, en tant que "mâles féminisés".
la domination masculine et la culture virile produisent la croyance selon laquelle les garçons possèdent une agressivité innée et qu’il faut même les encourager à la cultiver (« c’est bon pour la confiance en soi »). Les filles, quant à elles, disposeraient d’autres « armes » telles que la douceur, la sensibilité, l’empathie…
les statistiques sont là pour rappeler la réalité: environ 92% des victimes de viol sont des femmes et 96% des personnes mises en cause sont des hommes.
on estime que 10% des femmes sont victimes de violences conjugales.