Oui, dit-elle, l'idée de la mort nous exalte et nous purifie, ainsi qu'un jardinier qui arrache la mauvaise herbe lorsqu'il se trouve dans son jardin. Mais ce jardinier veut toujours être seul et se chagrine si des curieux regardent dans son dos. C'est pourquoi je me cache la face derrière mon ombrelle et mon évantail, pour qu'il puisse travailler en paix.