Elle avait découvert le village de Santo Stefano par hasard, deux semaines après son arrivée à Catane. Un endroit délicieux sur les pentes de l’Etna, où l’ordre semblait régner. Séduite par ce havre de paix, après s’être assurée de l’existence d’une route conduisant à la mer en moins d’un quart d’heure, elle avait décidé de s’y installer.