Les souvenirs de Sââni et de mes mésaventures lors de l’enquête de monsieur Dulgot, (...), ressurgissent régulièrement, sans prévenir. À cela s’ajoutent maintenant les images de cet homme suppliant dans cette ruelle sombre de Macao.
Dans un sens, je me sens soulagé d’avoir vengé Sââni et d’avoir débarrassé le monde d’une pourriture telle que lui. D’un autre côté, cette vengeance ne m’a ni apaisé ni soulagé du poids que je traîne depuis des mois.