Si la GPA constitue, à ne pas en douter, une pratique controversé, la condamnation quasi unanime qu’elle subit en France ne cesse de surprendre et appelle à une analyse qui va au-delà du droit lorsque, de surcroît, cette condamnation est circonscrit à la classe politique et intellectuelle, mais se trouve en contradiction avec l’opinion publique. En effet, selon le sondage Odoxa publié le 18 octobre 2019 par le Figaro et France Info, les sondés se disent favorables à l’autorisation de la GPA à 68 % pour les couples hétérosexuels et à 53 % pour les couples homosexuels.
Daniel Borrillo.