Nous sommes toustes sur le même océan, oui, mais pas sur le même bateau : une minorité se prélasse sur des yachts, tandis que la majorité souque dans des barquettes ou dérive sur des radeaux de fortune », de réponse globale, « La première crise de l’Anthropocène exige une réponse globale – économique, sociale, écologique, féministe et décoloniale – à la hauteur du défi. Osons exiger ce qui est impossible dans le cadre capitaliste : le pain et les roses, une vie de qualité et un environnement sain, la satisfaction des besoins humains réels, démocratiquement déterminés, dans le respect prudent de la beauté du monde