Il est frappant que, dans l’analyse de la révolution industrielle, Marx et Engels n’aient tout simplement saisi l’énorme portée écologique du passage d’un combustible renouvelable, produit de la conversion photosynthétique du flux solaire, le bois, à un combustible de stock, produit de la fossilisation du flux solaire et par conséquent épuisable à l’échelle historique des temps, le charbon.