Un cliquetis métallique retentit et je regardai à nouveau sur ma droite.
— Présente tes excuses, dit Reno d’une voix profonde qui vibra jusque dans son dos.
Il avait dégainé son pistolet et visait le passager, le bras tendu. Je me redressai.
— Soit tu lui présentes tes excuses, soit je te pourchasse à travers la ville. Qu’est-ce que tu préfères ?
— Merde, pardon, couina le jeune homme avant de remonter sa vitre.