On n'avait pas le droit de jouer avec la vie des gens. On ne devait pas intervenir dans les sentiments. Un mot, un regard, un sourire, un froncement de sourcils, affectaient un autre être, éveillant un accord ou une aversion, et une toile se tissait sans commencement et sans fin, s'étendait à l'extérieur et à l'intérieur aussi, entremêlant, nouant, et la vie de chacun était liée à la vie des autres.