Elle savait que lorsqu’elle avait quitté Londres, c’était cette paix qu’elle était venue chercher à Navron ; mais elle savait également que, dans les bois, le ciel, la rivière, elle n’en avait trouvé qu’une partie, qu’elle ne la goûtait dans sa plénitude que quand elle se trouvait avec lui, comme en ce moment, ou qu’il occupait sa pensée.