Il y avait quelque chose de monstrueux, de repoussant, dans cette fécondité, et, en même temps, de pitoyable pour l'arbre soumis à un tel supplice, car c'était un supplice, il n'y avait pas d'autre mot. Le pommier était torturé par ses fruits, brisé par leur poids, et le plus affreux était qu'aucun d'eux n'était mangeable.