Jennifer se vit continuant à grandir et abandonnant, au long de la route, son père et les garçons ; les oubliant peu à peu pour de nouveaux rêves ; ne leur donnant plus qu’une vague pensée de temps en temps, comme s’ils appartenaient à cette liste des choses perdues où figurent les livres d’enfants oubliés au fond des bibliothèques, les images déchirées, l’ours sans bras et les tricots trop petits…