Les féministes se réclamant pro-sexe insistent davantage sur la répression sexuelle que sur la violence faite aux femmes. Elles récusent les arguments abolitionnistes de l'oppression sexuelle systématique dont seraient victimes les femmes, même parmi les travailleuses du sexe : l'enjeu principal serait la lutte à l'encontre de la répression du désir sexuel féminin.