- C’est un nouveau commencement, Savra, une chance d’oublier le passé.
Parménion hocha la tête.
- Tu as raison, concéda-t-il.
Mais il n’avait pas l’intention d’oublier. Il leur ferait payer. Ne restait plus qu’à attendre patiemment le jour où ses ennemis mordraient la poussière à ses pieds et lèveraient les yeux afin d’implorer son pardon.
- Je préfère ça, Savra. J’aime te voir sourire, se méprit Hermias.