Je crois que pour la fiction d'avant-garde, c'est déjà fait. Elle est devenue complexe, elle a oublié son lecteur. Présenté comme ça, il y a une poignée de très bons poètes qui ont souffert du dessèchement et de la complexification de la poésie, mais dans l'ensemble je pense que la poésie américaine n'a pas volé ce qui lui est arrivé. Et, euh, elle se réveillera quand les poètes recommenceront à parler à des gens qui ont un loyer à payer et qui couchent avec la même femme pendant trente ans. Ne citez pas ça, c'était méchant. (p. 174)