"L’avenue Jean Lolive rayonne d’une énergie musicale, comme si les sons jaillissaient d’une bouche enchantée. Positivité sur la nationale 3. Les commerces gazouillent, les immeubles miaulent, le macadam fraternise avec la troupe de vivants, les gens gambadent en chœur. Même les chiens swinguent. Ma ville a pansé ses plaies ; guérie, elle évoque la gaieté, du moins, à cet instant, elle semble en être la capitale."