Citation de Denis_76
Il se trouve donc qu 'Agnès Sorel, demoiselle d'honneur de la duchesse d'Anjou Isabelle, assiste au dîner.
Panurge a un ébranlement en voyant cette jeune fille de quatorze ans, sous la tutelle de la duchesse Isabelle. A notre époque, Agnès est femme, et Isabelle peut lui chercher un mari. Panurge remarque l'éclat d'Agnès, qui lance une mode, un sein découvert. Mais il ne sait pas que le roi aussi, a les yeux sur elle, fasciné !
Et « Maître-le-Malin » commence son approche au cours du dîner :
« Ma dame, ce seroit bien fort utile à toute la republicque, delectable à vous, honneste à vostre lignée et à moy necessaire que feussiez couverte de ma race, et le croyez, car l'experience vous le demonstrera.
Agnès, à ces mots, recule de stupeur :
« Meschant fol, vous appertient il me tenir telz propos ? A qui pensez vous parlez ? Allez, ne vous trouvez jamais devant moy, car, si n'estoit pour un petit, je vous feroys coupper bras et jambes. »
Panurge a un ébranlement en voyant cette jeune fille de quatorze ans, sous la tutelle de la duchesse Isabelle. A notre époque, Agnès est femme, et Isabelle peut lui chercher un mari. Panurge remarque l'éclat d'Agnès, qui lance une mode, un sein découvert. Mais il ne sait pas que le roi aussi, a les yeux sur elle, fasciné !
Et « Maître-le-Malin » commence son approche au cours du dîner :
« Ma dame, ce seroit bien fort utile à toute la republicque, delectable à vous, honneste à vostre lignée et à moy necessaire que feussiez couverte de ma race, et le croyez, car l'experience vous le demonstrera.
Agnès, à ces mots, recule de stupeur :
« Meschant fol, vous appertient il me tenir telz propos ? A qui pensez vous parlez ? Allez, ne vous trouvez jamais devant moy, car, si n'estoit pour un petit, je vous feroys coupper bras et jambes. »
