Retour fracassant dans les folles années 80, les attaques de fourgons blindés et l'enlèvement de Paul VDB et pertes de vies humaines mais aussi principes de vie désopilante avec l'argent du sang et bercé par les drogues.
Ce qui est clair, c'est que le couple Tyack-Haemers a profité à leur manière de l'argent du crime sans vraiment se poser de question sur leurs victimes.
C'était plutôt, on s'aime, on veut beaucoup d'argent, on veut faire ce qu'on veut comme on le veut, peu importe le prix. Et advienne que pourra.
Mais Denise Tyack n'est pas dépourvue de vision éclairée sur la justice et la politique pour autant telle son affirmation à la page 192: Le substitut, un certain Van Lijsebeth, nous informa que le Brésil avait approuvé notre extradition en date du 16 mars et que nous allions par conséquent être transférés dans une prison belge. Plus tard, cet homme fit une belle carrière et devint même chef de la sûreté d'Etat. Comme quoi, à l'époque, il était possible de faire carrière grâce à la bande Haemers.
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