George est comme un dauphin qui fait signe aux humains sous la surface un peu agitée de l’expression. Une forme de paresse lyrique quant aux règles
de composition datant de l’époque où l’internet a libéré les mots qui, au fil du temps, se sont érodés ou ont été torturés jusqu’à produire ce son étincelant et implorant qui aide George à se lâcher et à crier en public sans jamais perdre son sang-froid.