Michael Jackson comprenait la nature du mal, son omniprésence. Il savait qu'à force de vivre à son côté, nous en venons à lui emprunter son manteau, à le reconnaître au fond de nous. Il savait qu'il était habité par un démon et que ce démon lui donnait la délicieuse énergie si émouvante, qui jaillissait de lui lorsqu'il chantait, lorsqu'il dansait. La musique le définissait tout entier. Elle le submergeait. (p325-326)