Elle me bouffe littéralement des yeux à présent et, sous le vernis de la bourgeoise, je vois poindre toute l'animale sensualité de cette femme qui me cherche ouvertement. Elle a troqué son port de bourgeoise pour des attitudes de chatte en chaleur et semble se moquer éperdument que cela se remarque. De mateur me voilà proie.
Je ne sais pas où nous allons. Chez eux ? Peut-être ailleurs ? Je m'en fous, je les suis. Nous allons nous mêler, nous prendre, nous aimer. Et c'est tout ce qui compte.