Tout s’évanouira peu à peu. L’édifice immense du souvenir, je le ferai voler en éclats, j’en dynamiterai les fondations autant de fois qu’il le faudra, pour qu’il n’en reste plus rien. Seulement une poussière ridicule que j’éparpillerai aux quatre coins des plaines de l’oubli.