Que faire, maintenant ? Son cerveau était comme paralysé et elle dut se forcer à réfléchir. S’ils restaient là, la Gestapo reviendrait certainement, à la recherche de Franz ou soucieuse de vérifier qu’elle et ses enfants avaient bien quitté l’appartement. Mais s’ils sortaient maintenant, ils se retrouveraient en pleine rue, où une foule surexcitée continuait à scander des slogans haineux, à briser des fenêtres, incendier des maisons et frapper quiconque était assez fou pour protester.