La seule chose au monde, à ma connaissance, capable de vous décrasser un tant soit peu de votre bêtise, c’est la peur de la mort. Et passé 30 ans, il suffit d’une nuit blanche, d’une bonne mémoire ou d’un miroir pour se rendre compte que le temps passe, qu’il nous est compté, et qu’il ne nous en reste plus tant que ça.