Les noms vernaculaires sont restés en usage. Ils se doublent d'appellations régionales, voire locales, qui témoignent de la complicité qui, depuis des milliers d'années, lie les humains aux arbres.
Il ne s'agit plus d'implanter des essences, mais d'en contrôler la production sur place et l'exportation. La surexploitation fait ses premiers ravages.