Vers dix-onze heures, les clubs vidéo, casse-croûtes, dépanneurs où travaillait la jeunesse au salaire minimum s'éteignaient un par un et il y avait une grande migration digne d'être narrée par Charles Tisseyre : quatre-roues et trois-roues et motocross grimpaient dans les collines et les jeunes de la campagne étaient debout sur les pédales, excités d'être au centre du monde pour une fois.