19. Celui qui désirait entrer au service d’un prince, mesurait ses propres capacités avant de se présenter, et non après être entré au service. Quiconque désirait demander ou emprunter à un autre, ou se mettre à son service, faisait la même chose. De cette manière, les supérieurs n’avaient pas à se plaindre, et les inférieurs ne s’exposaient pas à commettre des fautes.
20. On évitait d’épier les actions secrètes, de traiter les gens avec trop de familiarité, de raconter ce qui était passé depuis longtemps, de prendre un air badin ou moqueur.