Mon père peut pas rester là pour tout faire flamber, c'est trop dangereux, les biens des colons qui s'en vont deviennent automatiquement propriété de la future nation angolaise, aucun colon n'a le droit de détruire les biens qu'il a évidemment amassés, si mon père se fait prendre en train de mettre le feu à la maison et aux camions, ils le tuent, ils nous tuent (...) (p. 26)