Étais-je vraiment superficiel ? Me souciais-je uniquement du physique d’une femme ?
Cette prise de conscience me fit me sentir mal. Je ne méritais pas Marie et ne la mériterais jamais. Elle ferait mieux de fréquenter quelqu’un qui avait remarqué sa perfection dès le début. J’étais un connard de l’avoir remarquée uniquement quand elle avait changé sa garde-robe et sa coiffure.
J’étais un véritable enfoiré.