Quand la musique nous affecte jusqu'aux larmes, en apparence sans raison, nous ne pleurons pas comme le croit Gravina par "excès de plaisir" mais par l'excès du chagrin irrité, impatient devant l'incapacité où nous sommes, nous simples mortels, à jouir de ces extases supra-naturelles dont la musique ne peut nous laisser entrevoir qu'une vision pénétrante et indéfinie.