En prenant en compte l'évolution progressive des techniques, au cours des trois révolutions industrielles qui seront définies par la suite, la critique de la technique d'Anders se pense comme dialectique. La question récurrente reste la suivante : comment penser la technique contemporaine sans recourir à une technophobie ou à une technophilie, ni même à une position neutre et anthropocentrée ? (p. 31)