Ah ! Ma douce. Laisse tout ça, veux-tu ? Viens, ma belle âme, mon amie. Allons ensemble nous enivrer du sensible ! Laissons nos corps vides se remplir à nouveau … de ce que les éléments auront choisi pour nous. Savourons notre prochaine métamorphose. Avec abandon, et délectation … Mmm … Ma fleur ! Ma douce ! Retournons à la Terre, notre mère. Enfouissions-nous dans ses failles, offrons-lui nos entrailles … Et laissons les prochains vivants … nourrir la ronde éternelle des métamorphoses.