Vos orbes meurtriers me jalousent et me méprisent. Je
suis la perfection, celle que même votre imaginaire ne peut
concevoir. Là où votre teint respire la chair fade, je suis
l’éblouissant phénix, défiant les ravages du temps et de la
fatalité. Les miroirs murmurent mon nom comme une prophétie.
Oseriez-vous me comparer à Narcisse ? Ciel, vous m’offensez.
Suis-je donc si insignifiant ?