Nous nous embrassâmes. Encore et encore. Puis nous nous embrassâmes plus langoureusement. Mais bientôt, cela ne nous suffit plus. Nos mains commencèrent à vagabonder, nos vêtements, à se soulever. Exactement comme je l’avais imaginé…, sauf que cela allait trop vite. Beaucoup trop vite.
Plus je lui en donnais, plus il en voulait. Aussi finissais-je par le freiner. Toutes nos étreintes se terminaient en bataille pour savoir jusqu’où nous irions