Je couvris chacune de ses cicatrices d’un baiser langoureux. Sa peau était exquise, d’une volupté rare. Je savourais chaque centimètre de sa beauté. D’elle, j’étanchais mon appétence, mais me défendis de la dévorer bien que ma bouche, insatiable et gourmande, n’escomptât que cela.