Catherine vivait chaque jour dans l’angoisse d’apprendre sa mort, fusillé avec un bataillon de rebelles. Elle faisait de son mieux pour le cacher aux enfants, autant pour ne pas les inquiéter que pour éviter qu’ils ne parlent… mais leur père n’était ni mort ni prisonnier. Alors comment justifier son absence ? Que l’institutrice s’en mêle était inquiétant.