Une minute plus tard, le dénommé Striker se tenait au centre de la pièce verte et jaune, avec son atmosphère ensoleillée et ses fleurs dans le joli vase chinois. A première vue, il ressemblait à un croisement entre un pugiliste et un tatou cherchant à se faire passer pour une chaudière rouillée. Il sentait le lubrifiant, la poudre à canon et le gin, avec un parfum sous-jacent de sang séché. Un homme à la vie rude.