Emmanuel Goujon

On ne tient pas là le best-seller de l'année mais ce livre est agréable et plaisant à lire. A travers les écrits de Marcel, sorte de journal compilant des récits et témoignages, on note une volonté certaine de se remémorer les événements de ces guerres, les sentiments, les émotions de ceux qui les ont vécues, soit en étant soldat, soit comme simples civils. Le fil conducteur est ce fameux Imperméable, dénommé ainsi car on ne lui voit pas le visage. La seule caractéristique est cet habit. On retrouve ce personnage partout, sur tous les fronts. Marcel va partir à sa recherche. Simple quête ? Certes non, car il est difficile de savoir s'il faut réellement chercher quelqu'un physiquement ou s'il faut le chercher dans son moi intérieur.

Le style est simple, sans fioritures vaines afin de laisser au lecteur le plaisir et le loisir de se laisser absorber dans l'histoire et l'Histoire.

Ce livre est un bel hommage aux combattants, aux civils. Il est une ode à la bravoure, au courage et à la vertu.



Merci à BoB et aux Éditions Vents d'Ailleurs pour cette découverte.
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Dire que ce livre est mauvais serait faux, mais, franchement je n'ai pas accroché, ce qui est passablement ennuyeux pour un livre lu en partenariat.



Le style m'a gêné, bien que j'ai essayé de prendre en compte que l'auteur se mettait à la place d'un jeune orphelin de 16 ans. D'autant plus, qu'au changement quant l'orphelin devient un vieux monsieur.



Pour la partie historique, je l'ai également trouvée un peu faiblarde... sans références, et sans profondeur. L'impression que l'auteur à glaner dans ses livres d'Histoire.



Pour ce qui est de la fiction... je suis restée sur ma faim.



Un livre qui m'a profondément ennuyé, mais fort possible que l'auteur n'y sois pour rien. Sans quelques scènes de sexe, je pencherai plus pour l'impression d'avoir lu un livre pour jeune adolescent.




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Ce roman m’a vraiment interpellée. Certaines descriptions de scènes de guerre se révèlent d’ailleurs très dures – après la lecture de certains chapitres, je devais m’interrompre, pour reprendre mon souffle, avant de prendre le risque de retomber sur un passage »difficile ». Ce livre ne laisse pas indifférent, c’est certain.



Le héros, qui finalement n’est qu’un gamin orphelin armé de peu de repères affectifs, se retrouve à receuillir les témoignages les plus terribles, inimaginables, des rescapés des camps, dans l’hôtel parisien qui acceuille les déportés de retour, hagards et amaigris. Il constitue des fiches pour son supérieur hiérarchique, militaire, qui serviront de témoignage pour les procès de Nüremberg plus tard ; et découvre avec stupéfation les confidences qu’il écoute. Il va finalement enquêter sur un personnage mystérieux, qui finalement ressemble beaucoup au père qu’il aurait aimé avoir : brave, présent pour les plus faibles dans toutes les circonstances. En bref : un meneur bon et fort, qui suscite l’admiration. En recherche de figure paternelle, Marcel va se lancer dans une quête frénétique, sans savoir quel sens lui donner.



LA SUITE ? ...

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Emmanuel Goujon a dans ce livre un style très fluide, avec lequel il raconte une histoire entrainante. C’est plus le style qui est entrainant que l’histoire en elle même. L’histoire, elle, n’est pas trop originale, mais...
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pas de chance, à mi-parcours je trouve ce livre assez ennuyeux et bourré de clichés.

Heureusement, court roman de 188 pages, ça peut changer et devenir intéressant.
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Dans le contexte particulier de l'après-guerre, un homme à l'imperméable joue un rôle de catharsis, révélateur des rêves de justice.
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