L’érotisme n’est pas un manuel de recettes pour s’amuser en société. C’est une conception du destin de l’homme, une jauge, un canon, un code, un cérémonial, un art, une école. C’est aussi une science – ou, plutôt, le fruit d’élection, le fruit dernier de la science. Ses lois se fondent sur la raison, non sur la crédulité. Sur la confiance, au lieu de la peur.