Ne s’étant pas senti « assez solide pour devenir psychanalyste et psychiatre », Erick Petit, né à Tizi Ouzou et d’origine franco-vietnamienne est devenu radiologue, spécialiste de l’endométriose, et a dédié sa vie à une mission : démontrer que les femmes qui souffraient n’étaient pas folles.
Son combat : la connaissance et le traitement de l’endométriose.