« « À Auschwitz il n'y avait qu'une seule couleur, murmura-t-il, celle de la cendre. » Le peintre le considéra avec émotion, puis lui dit avec douceur : « Chaque homme a le droit à une couleur, celle de sa liberté, il existe une infinie de couleurs pour chacun d'entre nous. Un jour, tu trouveras la tienne... » »