Le savant, dont la passion de recherches avait empli la vie, en venait presque à maudire la curiosité humaine. Un soir, comme il parlait aux parallèles d’Asie, il finit par s’écrier :
– Je vous dis qu’il faut avant tout organiser et surveiller le travail scientifique !… Je vous en adjure : surveillez la science ou tuez-la !… Il n’est pas de tâche plus urgente ! Il n’est pas d’autre moyen de salut !