Je ne nie pas la prière comme hymne mystique. Tout acte d’admiration, de joie, d’amour est une prière en ce sens. Mais la prière intéressée, la prière par laquelle l’être fini cherche à substituer sa volonté à celle de l’être infini, je la rejette, et je la tiens même pour une sorte d’injure faite, innocemment sans doute, à la Divinité.…