- Ne me dis pas que tu n'es qu'un vulgaire pillard, aveuglé par les lueurs glacées de l'or et de l'argent?
- Non, bien sûr, vos richesses, je n'en ai cure... Mais j'aime la fille du grand druide, et ... il me faut un cadeau digne de son rang pour gagner la bonne grâce de son père!
- C'est donc les vents de l'amour qui t'ont porté au seuil de ma demeure...