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« Jadis, le Vénéré du monde avait réuni environ 500 fidèles et disciples au Pic du Vautour au nord de l’Inde où il se proposait de donner un enseignement. Au début de son discours, il montre une fleur à la congrégation de disciples. Tout le monde observe le silence. Toutefois seul le Vénérable Mahākāshyapa sourit largement. »
En fait ce que le Bouddha a voulu démontrer, à travers son geste de présenter une fleur, c’est qu’il existe une vérité qui n’est exprimée ni par les paroles, ni par les écrits, en d’autres termes qui passe par une transmission non verbale. Et Mahākāśyapa est le seul de cette assemblée à comprendre le message du Bouddha. Cette prédication s’est terminée sans que le Bouddha ne prononce un seul mot. Il se contente de brandir une fleur, de l’exposer à l’assemblée des disciples. Ceux-ci restent surpris par cette action et ce qu’il a voulu dire en exposant une fleur.
Cette histoire n’est pas prouvée historiquement et peut-être bien qu’elle ne se soit jamais passée dans la réalité. Elle s’est transmise de Maître à élève, de génération en génération, elle continue d’être connue et si l’on peut dire « méditée » encore aujourd’hui. Peut-on entrevoir avec ce koan ce que sont la vérité et l’esprit du Zen ?
Il existe « une vérité » en dehors des mots et ne dépend pas des écritures, elle est transmise en dehors de la doctrine. Elle est transmise à Mahākāśyapa.
Le Bouddha exhibe une fleur dans ses doigts et Mahākāśyapa sourit. On admet que c'est là le symbole de la compréhension de Mahākāśyapa et le signe de la première transmission.
Un seul de ses disciples a souri. En voyant le sourire qui illuminait le visage de Mahākāshyapa il s’est tourné vers lui et lui dit : « C’est à toi que je transmets mon enseignement. »
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La civilisation chinoise donna naissance aux tissus de soie. Leizu, épouse de Huangdi, l’Empereur Jeune, inventa la sériciculture. Le mythe rejoint la réalité, puisque l’archéologie moderne atteste la présence de morceaux de soie sur de sites du néolithique (entre – 5000 et – 3000, en particulier dans la province du Zhejiang).
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La vie est limitée, mais le savoir est sans limites.
Zhuangzl
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