Dans la Grande-Bretagne d’après-guerre, l’apparition du « bien-être animal » témoigne d'une inflexion [où les arguments scientifiques et techniques prennent le dessus sur les habituelles considérations morales]. Remplaçant petit à petit les termes « souffrance » ou « cruauté », une telle notion est étroitement liée au développement d’un nouveau régime de production de connaissances sur les animaux. (p. 33)