Assis sur mon banc, je regarde mon fils jouer avec un chat. Basculant sur l’herbe, sur les gravillons, le petit animal tente d’attraper une ficelle. Agile, il réussit deux fois pendant les trente secondes que je passe à les regarder. Il n’y a personne dans la rue. C’est comme si la citadelle était de nouveau touchée, comme si une nouvelle quarantaine avait de nouveau été décrétée.