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Citation de Charybde2


Kopeke rature. Il décrit un hôtel à la place de la maison de retraite qu’il avait d’abord en tête. Un hôtel, à la place de la maison de retraite, fermée pour donner un espace plus rentable à la région. Il y a toujours son meurtre, et le chef, qui n’est plus le même que celui qu’il avait dans les papiers d’avant, est un maigre. Il rêve de l’ancien chef de l’hôtel, qui garde les caractéristiques que les brouillons donnaient au chef de la maison de retraite, toutes les nuits. Il l’incarne et souhaite vider l’hôtel, en tuant. On retrouve des mâchoires cassées sur des draps, ou peut-être plutôt dans la piscine. Puis il rature car il a peur que le lieu ne se prête pas à des meurtres, mais plutôt à des disparitions. Il s’agit d’un hôtel flambant neuf donc, avec des poignées en métal et des portes qui ne grincent pas, malgré leurs ouvertures et fermetures constantes du fait de l’affluence sensationnelle. Il ne sait pas comment gérer la question du luxe des chambres. C’est ce qui se passe à l’extérieur qui doit importer ici. Il faut presque insister sur le jardin, en y creusant une piscine comme ici. Jamais une fenêtre n’est fermée. C’est comme cela qu’il va éviter de décrire les chambres. Peut-être un paravent gris dans la scène finale, ou coloré, pour trancher avec le reste du texte.
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