Elles se destinent aux sous-hommes, aux lâches, aux faibles, aux couards de la vie. D’ailleurs, je refuse de lire, d’entendre ou de parler avec un pratiquant puisque sa raison est forcément orientée, polluée par des historiettes invraisemblables et rend, de ce fait, tout échange stérile. La messe prend fin, à mon plus grand bonheur. À présent, il va falloir se gaver.